par Jean-Bernard Forie
Réveil à cinq heures, pour veiller au mascaret. Je gagne à l'aviron le milieu du fleuve. Au bout d'un moment il arrive, mais sans qu'il y ait rien à craindre. La voile larguée, je parcours en louvoyant les derniers milles jusqu'au tertre de Fronsac.
Je viens dans l'embouchure de l'Isle m'amarrer comme au départ au ponton du club d'aviron et la croisière s'achève là.
Puis ma femme et mon fils arrivent, et c'est la joie des retrouvailles, le matériel qu'il faut entasser dans la voiture puis, en fin de matinée, la mise sur remorque et le retour du « Plénitude » dans le jardin.