par Jean-Bernard Forie
Plénitude est revenu à la maison et le matériel gît sur l’herbe en attendant d’être nettoyé, séché puis rangé.
« Fin des manœuvres » comme il est d’usage d’écrire sur le journal de bord des grands navires.
Ai-je pourtant tout vu dans le vaste estuaire ? Non, loin de là, et c’est une raison suffisante : l’année prochaine, je repartirai.