Estuaire infos n° 240


 

 

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N° 240 – 15 novembre 2024

Au sommaire

  • Café estuarien en Médoc
  • Café estuarien en Saintonge
  • Carte blanche à Baffort (rappel)
  • Marin de Bordeaux, pilote de la Gironde
  • Michel Manem à Livres en citadelle
  • Infos partenaires
    • CAPC : la mémoire de l’estuaire

Café estuarien en Médoc

Le prochain café estuarien aura lieu jeudi 7 décembre, comme tout premier jeudi de chaque mois à 18h00, à la salle des fêtes de Saint-Julien-Beychevelle.
Éric Prido, ingénieur écologue et jardinier, fera une présentation sur le thème de l’eau et l’humain dans les terres du Médoc.

Café estuarien en Saintonge

Ça se passe à l’auberge du caviar et de l’esturgeon de Saint-Seurin-d’Uzet.
Rappel : ce vendredi 17 novembre, à 18h00 Roland Mornet, ancien capitaine d’un navire océanographique et écrivain, nous parlera de naufrages sur la Gironde.
La prochaine réunion aura lieu vendredi 15 décembre, à 18h00. C’est Charlotte de Charette, responsable du service du patrimoine de la ville de Royan, présentera le tout nouveau Centre d’interprétation de l’architecture et du patrimoine, qui se trouve au palais des congrès récemment rénové.

Carte blanche à Baffort (rappel)

C’est vendredi que le Conservatoire de l’estuaire est invité à proposer une soirée “carte blanche” à la fabrique Baffort, à Étauliers (33).
Tout d’abord une exposition, “Les estuariens”, mettra en scène des œuvres originales qui ont servi d’illustration dans la revue L’estuarien.
Par ailleurs, la soirée sera sous le signe de lectures musicales et dessinées. Certains textes littéraires publiés dans notre revue seront lus par Cendine Nuel et inspireront les dessinateurs et illustrateurs (Thomas Chéronnet, Maxime Garcia, Thierry Laval et Jean-Christophe Mazurie) avec accompagnement à la kora par Nouna Dembele.
Rendez-vous est donné à 19h30, vendredi 17 novembre.
La maison Baffort se trouve ici, au centre d’Étauliers.

Marin de Bordeaux, pilote de la Gironde

Le Conservatoire de l’estuaire vient d’éditer un deuxième ouvrage dans la collection “Mémoire d’estuaire” : Marin de Bordeaux, pilote de Gironde.
Quand on habite rue Lucien Faure, à deux pas des bassins à flot, que l’on aperçoit les mâts des bateaux tous les jours en allant ou en revenant de l’école, que le papa et son meilleur ami, gabariers, n’arrêtent pas de parler bateau, ça vous marque un gamin. Roger veut être capitaine au long cours. Cette idée ne le quittera pas.
Navigation au long cours dans un premier temps, puis retour vers sa “Rivière” à laquelle il consacra une grande partie de sa vie.
Cet ouvrage a été rédigé par son fils, Michel, qui a hérité de la passion de son père.
À travers ce témoignage sensible, c’est un pan de l’histoire de l’estuaire de la Gironde qui nous est transmis.
108 pages, plus de 130 illustrations, 15 €.

Michel Manem à Livres en citadelle

Samedi 9 et dimanche 10 décembre, l’association Préface organise la 30e édition du salon “Lives en citadelle”. Ça se passe dans la citadelle de Blaye.
Michel Manem sera présent sur le stand du Conservatoire et pourra dédicacer votre ouvrage.
Mieux, dimanche 10 décembre à 10h15, une rencontre avec Michel Manem est organisée dans la chapelle du couvent des Minimes. Le conteur de notre estuaire nous embarque sur ses flots, avec Michel Vignau, président du Conservatoire de l’estuaire, en interlocuteur.

CAPC : la mémoire de l’estuaire

L’exposition de Kapwani Kivanga au CAPC, musée d’art contemporain de Bordeaux, pourra surprendre ceux qui ne sont pas familier avec l’art contemporain et l’art minimal.
Commanditée pour une installation dans la nef centrale à l‘occasion des 50 ans du musée l’artiste questionne l’histoire du bâtiment : les entrepôts Laîné, la structure complexe des fondations pour éviter l’inondation, gérer le flux et le reflux des eaux de l’estuaire au rythme des marées…
Les grands rideaux ruisselants de cordes en coton indigo, évoquent la mémoire de l’estuaire : les grands voiliers venant d’Afrique chargés de denrées coloniales, la période de l’esclavage, l’estuaire comme témoin.
L’eau se souvient. L’estuaire se souvient.
À voir jusqu’au 7 janvier 2024.

 

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